Friday, June 29, 2012

Montage # 61 - Powers of 2 / Puissances de 2


As of August 3rd, 2012, this montage will no longer be available on Pod-O-Matic. It can be heard or downloaded from the Internet Archive at the following address / A compter du 3 août 2012, ce montage ne sera plus disponible en baladodiffusion Pod-O-Matic. Il peut être téléchargé ou entendu au site Internet Archive à l'adresse suivante:

http://archive.org/details/ThePowersOfTwo_316


pcast061 Playlist

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English Commentary – le commentaire français suit

The final instalment in our month-long look at music by the numbers is the first few "powers of 2", namely 1, 10, 100, 1000, 10000 and 100000. Or maybe should I write them as 00000001, 00000010, 00000100, 00001000, 00100000 and 01000000.



Ah yes, you can tell I'm a computer geek and that I can count in binary, I suppose we are most used to the decimal notation, so 1, 2, 4, 8, 16, 32 and 64.

What better way to illustrate the "powers of 2" musically than relying on a piece for two pianos (or two pianists, four ands in the case of our montage performance)m and that would be some of the 21 Hungarian Dances by Johannes Brahms. Those cover off the first handful of entries on our playlist. A complete performance is embedded in the French commentary.

For 32, I chose Anton Arensky's piano trio in D minor from the Isabella Stewart Gardner museum collection. As I started teasing last week, we will have a summer series again this year on the Tuesday Blog - like we did last summer with the Summer of the String Quartet, but this time it will be dedicated to the sonata. All kinds of sonatas for one or two instruments and the ISGM will be a venue of choice for at least 3 of the posts. More details to follow on TalkClassical and on What's New for July and August.

Back to the montage, and probably one of the most beloved "opus 64's" of the standard repertoire, Mendelssohn's violin concerto in E Minor. Mendelssohn wrote two concertos for the violin (there is a teenage concerto, from 1822 in D minor), but this concerto is along with the Brahms and the Beethoven represent the holy trinity of German violin concerti. Charles Dutoit and the Montreal Symphony recorded the concerto twice with two different soloists at opposite ends of the series of MSO recordings from St-Eustache. One was with Leila Josefowicz (coupled with the Glazunov) and the earliest if with Kyung Wha Chung (coupled with the Tchaikovsky), It is the Chung version I have chosen for today's montage.

I think you will love this music too!

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Commentaire français

Notre dernière réflexion sur la numérologie musicale considère les puissances de 2. La suite est celle qui double le nombre qui le précède, donc 1,2,4,8,16,32, 64...

Ces nombres se retrouvent partout en mathématiques et en informatique (j'illustre l'example du compteur binaire dans mon commentaire anglais). Pour nos besoins d'aujourd'hui, les premères illustrations sont issues des quatre livres de Ungarische Tänze pour piano à 4 mains de Johannes Brahms. L'intégrale des 21 sélections, gracieuseté de YouTube, est offerte ici sur deux pianos:



Le 32 est représenté par le trio pour piani en ré mineur de Russe Anton Arenski, dans une prestation de la collection du musée Isabella Stewart Gardner. Comme j'ai commencé à le suggérer la semaine dernière, nous aurons une autre série de musique de chambre les mardis cet été (vous souvenez-vous de l'août du quatuor?), mais je réserve cette série pour mes lecteurs sur MQCD Musique Classique et TalkClassical - Mardi en Musique fera du rattrappage avec des billets de faveur cet été. Plus de détails dans Quoi de Neuf.

Finalement, l'op. 64 de Félix Mendelssohn complète notre séquence. Son concerto pour violon en mi mineur fut endisqué par Dutoit et l'OSM deux fois pemndant leur association avec London-Decca et Philips et leurs enregistrements à partor de l'Église de St-Eustache en banlieue de Montréal. Entre Leila Josefowicz et Kyung-Wha Chung, j'ai opté pour la violoniste Coréenne, qui participa à au moins deux des enregistrements de la première heure de la série.


Bonne écoute!

Tuesday, June 26, 2012

La Chronique du Disque (juin 2012)


In English: http://www.talkclassical.com/blogs/itywltmt/974-la-chronique-du-disque.html


NDLR: La chronique du disque est un billet présenté mensuellement, relatant mes achats et acquisitions du mois qui s’achève. Ceci n’est pas une «critique du disque», mais plutôt un billet d’informations : qu’est-ce que j’ai trouvé, où l’ai-je trouvé, et qu’est-ce que j’en pense. Des informations qui peuvent piquer votre curiosité et (peut-être) vous amener à considérer les pièces ou même les prestations que je propose, afin de les ajouter à votre collection.
Parce qu’il se doit, je vais assigner une «note» (une lettre entre A et D) pour ces achats – en fait, deux notes, comme on le fait au patinage artistique. Une note sera attribuée à la qualité sonore (QS), et une autre pour l’impression globale (IG). Voici un barème :
  • Pour la qualité sonore: mon point de référence est mon iPod avec écouteurs de type bouton. J’écoute mon iPod au travail et dans l’autobus, donc avec un certain niveau de bruit de fond. Une «bonne» note est assignée si la prise de son est bonne, la musique est claire et exempte de bruits de surface, et généralement permet une audition claire de la prestation sans dérangement.
  • Pour l’impression globale: il s’agît-là d’une note subjective, entièrement basée sur la performance dans le contexte d’auditions comparables. Une «bonne» note requiert une prestation convaincante, pleine de virtuosité, représentative de l’ère et des traditions qui accompagnent la pièce.


Mes acquisitions poour juin

Ambroise Thomas : Mignon
[Prestations de 
1937 et 1945 ]

En dépit de l’immense succès qu’il a remporté au XIXe siècle, on doit déplorer que l’opéraMignon d’Ambroise Thomas n’est presque plus monté de nos jours, et c’est dommage. Le chef Montréalais  Wilfrid Pelletier (tel que rapporté dans un article que j’ai publié recemment) a entendu une performance de cet opéra pendant son adolescence, avec des répercussions inimaginables pour un jeune musicien dans ce que Pelletier appelait «un désert mudical». Cette audition l’amène à poursuivre une formation musicale en Europe, et finalement à New-York oû il sera chef en résidence au Metropolitan Opera pour 33 ans. Des documents qui survivent du premier demi-sièclke du Xxe, deux prestations de Mignon sous la direction artistique de Pelletier avec deux distributions différentes. Il ne faut pas s’attarder à la qualité sonore des documents (les chanteurs apparraîssent ou s’effacent tout dépendant de leur position par rapport au micro), mais le jeu subtil de l’orchestre sous Pelletier nous révèlent un grand chef, avec une vision d’ensemble exceptionnelle. C+ pour la QS, B- pour l’IG.



Show Boat
[Achat en ligne 
eMusic]

En 1927, Jerome Kern et Oscar Hammerstein II collabotent à la mise en oeuvre d’un pilier dans le genre de la Comédie Musicale – l’adaptation du roman d’Edna Ferber Show Boat, . Le roman, surtout tragique, raconte des aventures qui s’échelonnent sur plusieurs décenies, axées autour d’un environnement artistique très particulier, cellui du théâtre flottant qui se promène de ville en ville le long du Mississippi. Les sujets controversés – que ce soit les travailleurs Noirs ou l’aspect Vaudevillien de ses artisans créent une tragi-comédie qui frôle l’opéra – un précurseur sans doute de West Side Story dans son ampleur et le sérieux de ses fils dramatiques. La production qui est présentée ici est Britannique (non par Américaine), mais soulignons Willard White dans un Ol’ Man River bien senti. J’aime bien! A pour la QS, A pour l’IG.



Winterreise
[Achat en ligne 
eMusic]

Dietrich Fischer-Dieskau nous a quitté le mois dernier, et je n’ai pu résister l’achat d’un de ces sept enregistrements du cycle Winterreise. Le pianiste Gerald Moore, qui l’a accompagné fidèlement tout le long de sa carrière, a participé à trois d’entre eux, don’t celui-ci qui date de 1955, probablement donc son prenmier enregistrement commercial de ce cycle. Le timbre, la projection, la diction,. Le sens du dramatique, tout y est – tout ceci explique pourquoi DFD est l’interprète le plus étroitement associé à ces lieder de Schubert.  A- pour la QS, A pour l’IG.

Louis Vierne: Complete Organ Symphonies
[
Torrent ]

2012 marque le 75ie anniversaire du décès de deux des compositeurs qui ont marqué la renaissance de l’orgue en France, et tous deux étroitement reliés au facteur Cavaillé-Coll:Charles-Marie Widor et Louis Vierne. Les deux ont à toutes fins pratique créé la Symphonie pour Orgue – Widor en composera 10 et Vierne 6. Ces six symphonies sont au coweur de l’intégrale proposée par l’organiste néerlandais Ben Van Oosten, Il endisque les six symphonies sur trois Cavaillé-Coll provenant d’églises différentes à : Riuen, Toulouse et Paris. Le jeu etest subtil, raffiné et musclé au besoin – une belle intégrale! Le torrent offre également l’ensemble des suites pour orgue et 24 pièces de fantaisie A- pour la QS, A- pour l’IG.

The Voice of the Sparrow: The Very Best of Edith Piaf
[Torrent]

La voix de la Piaf est distincte, avec son caractère moulé par une vie dure, et des amouirs tout aussi durs. Le disque proposé ici est un recueil de ses grands succès, revisités pour le numérique sans toutefois perdre leur cachet d’époque, leur conférant un aspect nostalgique. Vous reconnaitrez ses tubes, et découvrirez sans doute des chansons (comme son adaptation des Vieux Pianos du regretté Claude Léveillée, qui contracste avec sa version plus « piano bar ».. B+ pour la QS, A pour l’IG.

Friday, June 22, 2012

Montage #60 - Prime Numbers / Les nombres premiers


As of July 27, 2012, this montage will no longer be available on Pod-O-Matic. It can be heard or downloaded from the Internet Archive at the following address / A compter du 27 juillet 2012, ce montage ne sera plus disponible en baladodiffusion Pod-O-Matic. Il peut être téléchargé ou entendu au site Internet Archive à l'adresse suivante:

http://archive.org/details/PrimeNumbers

pcast060 Playlist

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English Commentary – le commentaire français suit

As we did last week, I will rely on a major collection of works to illustrate our sequence of prime numbers. Today, I chose the op. 24 set of preludes by Chopin. The complete set of op. 24 preludes are found on the Piano Society website. Chopin also ends the montage with his op. 53 heroic polonaise.

Is the “number 1” a Prime Number?

In this week’s montage illustrating the sequence of the first few prime numbers, I omitted the number 1 (in the form of Chopin’s prelude op. 28, no. 1), but this begs the question: is “1” a Prime Number? It, indeed, meets the basic definition of having as factors the number “1” and itself “tha is, the number 1…) but according to Wolfram Math World:

The number 1 is a special case which is considered neither prime nor composite. Although the number 1 used to be considered a prime (Goldbach 1742; Lehmer 1909, 1914; Hardy and Wright 1979; Gardner 1984; Sloane and Plouffe 1995; Hardy 1999), it requires special treatment in so many definitions and applications involving primes greater than or equal to 2 that it is usually placed into a class of its own.

The most compelling argument against 1 as a prime number (other than the way prime numbers are defined, making the argument pointless…) is this one: the fundamental theorem of arithmetic states that every positive integer (except the number 1) can be represented in exactly one way (apart from rearrangement) as a product of one or more primes. A good reason not to call 1 a prime number is that if 1 were prime, then the statement of the fundamental theorem of arithmetic would have to be modified since "in exactly one way" would be false because any n = n X 1 . In other words, unique factorization into a product of primes would fail if the primes included 1.

Paul Hindemith wroe a symphony (in B Flat) for wind band, however our “prime number” for him is 41, corresponding to his cobcert music for wind band. Dvorak makes a third appearance in three weeks, this time with his overture to the opera Selma sedlakDebussy, Brahms, Saint-Saens, Vivaldi and Mozart provide works as well.

The Vivaldi and Brahms selections come from the music library of the Isabella Stewart Gardner Museum, a major venue at our upcoming summer chamber music festival on Tuesdays this Summer – more on that in a couple of weeks.

I think you will love thia music too.


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Commentaire français


La collection primée cette semaine est l'ensemble des préludes (op. 24) de Chopin. Primée, en effet, car notre exploration numérique de la semaine est la séquence des nombres premiers, de 2 à 53. Voici l'intégrale des préludes, selon des membres de la Piano Society:

http://pianosociety.com/cms/index.php?section=132:


Chopin nouys offre le 2 et le 53 - gracieuseté de sa polonnaise héroïque.

Le cnombre "1" est-il premier?

La définition officielle d'un nombre premier est un nombre plus grand ou égal à 2, qui n'est divisible que par "1" et lui-même. Hormis la restriction que le nombre doit être plus grand ou égal à 2, "1" rencontre le reste de la définition, ce qui explique pourquoi, à l'élémentaire, on nous enseignait que ce dernier était premier.

Le théorème fondamental de l'arithmétique dicte qu'il n'existe qu'un seul groupe de facteurs premiers qui peuvent représenter n'importe lequel nombre, comme (par example) 2 X 2 X 2 = 8. Si "1" était premier, le théorème serait invalide (car 1 X 2 X 2 X 2 = 8 égalementù).

Les autres sélections

Paul Hindemith composa une symphonie (en si bémol majeur) pour harmonie. Toutefois, nous avons choisi sa Konzertmisic pour harmonie ("41") dans notre suite). Dvorak nous revient pour une troisième semaoine, avec l'ouverture de l'opéra Selma sedlakDebussyBrahmsSaint-SaensVivaldi et Mozart font .galement des contributions.

Le Vivaldi et le Brahms sont des sélections provenant de la bibli musicale du mus.e Bostonnais Isabella Stewart Gardner, un lieu que nous visiterons régulièrement cet été - plus de détails dans une quizaine de joiurs.

Bonne écoute!




Tuesday, June 19, 2012

Symphonies en trois mouvements




Après des réflexions autour des chiffres 2, 4 et 9,  nous tournons notre attention sur le 3 – Comme dans le nombre de mouvements dans les symphonies suggérées cette semaine.

La norme veut qu’uine symphonie dite “classique” comporte quatre mouvements: un mouvement de forme sonate (suite de thèmes et développements de type ABA), un mouvement lent, une danse (un menuet ou un scherzo habituellement) et une finale. Joseph Haydn, compositeur prolifique de symphonies en ayant composé 104, a suivi scrupuleusement cette formule… à compter de sa trentième symphonie. Parmi ses trente premières, j’en ai compté 13 qui n’ont que trois mouvements (liste complète ici : http://alambix.uquebec.ca/musique//c.../hayfj01a.html)

Même chose pour Mozart, qui compte 14 de ses 41 symphonies numérotées avec trois mouvements. Une de ses dernières symphonies, celle surnommée Prague (sa 38ie) fait partie de nos sélections de cette semaine.

L’une des oeuvress symphoniques incontournables du répertoire romantique Français est la symphonie en ré mineur de Cesar Franck. Elle aussi n’a que trois mouvements, mais Franck allie mystère et réjouissance dans une succession de thèmes irrésistibles. La version choisie est une exécution de la part du regretté chef Tchèque Karel Ančerl, qui fut brièvement le directeur artistique à Toronto après Seiji Ozawa.

Il y a quelques semaines, j’ai présenté dans ces pages la symphonie en ut majeur de Stravinski, et vous propose ici une autre symphonie de sa plume, et dirigée par le compositeur lors de son intégrale CBS d’il y a 50 ans. Commande de la Philharmonique de New-York, cette œuvre y fut créée par le compositeur au pupitre en 1945 – sa première œuvre majeure après avoir élu domicile aux Etats-Unis. Elle aussi, comme son titre le suggère, n’a que trois mouvements.

Pour terminer, une composition en trois parties de la part de Robert Schumann. Quoiqu’elle n’est pas répertoriée comme une symphonie, Ouverture, Scherzo und Finale fut longtemps considérée par le compositeur comme étant sa deuxième symphonie (probablement car il n’a jamias été pleinement satisfait de l’œuvre qu’on appelle aujourd’hui sa deuxième)

Bonne écoute!
DETAILS

Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791)
Symphonie no. 38, en ré majeur, K. 508 "Prague"
Pražský komorní orchestr sous  Sir Charles Mackerras

César FRANCK (1822-1890)
Symphonie en ré mineur, FWV 48
Koninklijk Concertgebouworkest sous Karel Ančerl

Igor STRAVINSKY (1882-1971)
Symphony in Three Movements (1942-45)
The Columbia Symphony Orchestra sous Igor Stravinsky

Robert SCHUMANN (1810-1856)
Ouverture, Scherzo und Finale, en mi majeur, op. 52
Gewandhausorchester Leipzig sous Franz Konwitschny


Monday, June 18, 2012

Mignon by Ambroise Thomas

This is my Once or Twice a Fortnight post from June 18th, 2012.

Related:
La connexion MET-Montréal
This Day in Music History - 21 September 1963

Today’s OTF is about another French opera written after a Goethe novel, and the unlikely story of a Montrealer who in spite of the odds became a world-renowned conductor at one of the most famous opera houses in the world.

(Charles Louis) Ambroise Thomas (1811–1896) was a French composer and educator. As an educator, Thomas is best known for having led the Conservatoire de Paris from 1871 until his death in 1896.


As a composer, Thomas left about twenty operas, most notably Raymond (1851),Hamlet (1868) and today’s feature, Mignon (1866) .

Mignon is an opéra comique in three acts with an original French libretto by Jules Barbier and Michel Carré, based on Goethe's novel Wilhelm Meisters Lehrjahre. Thomas' goddaughter, English operatic sopranoMignon Nevada, was named after the main character.

The first performance was at the Opéra-Comique in Paris on 17 November 1866. The piece proved popular: more than 100 performances took place by the following July, the 1,000th was given there on 13 May 1894, and the 1,500th on 25 May 1919. Despite his success in Paris with the French version, Thomas was asked to revise the work for the first performance at the Drury Lane Theatre in London on 5 July 1870. This version was given in Italianwith recitatives. In the years after its premiere in 1866, Mignon clocked up hundreds of performances, almost challenging Gounod’s Faust as one of he most popular French operas of the 19th century before Carmen. By the second half of the 20th century, this enchantingly tuneful and sweetly sentimental work had all but disappeared from the repertoire. Bob Rose of Fanfare magazine found only three performances of this work listed in the last 10 years, one in France in 2007, and one in New York City in 2005. The third was in 2001 in Toulouse.

To wet your appetite, here is the overture, performed by Seiji Ozawa and the Boston Symphony:



For nearly 65 years, Montreal ‘s Her Majesty's Theatre was one of the most important venues for orchestral concerts, recitals, plays, operas, and ballets in that city. Built in 1897-1898 during the reign of Queen Victoria, the theatre was in continual operation until it was demolished in 1963. The theatre also presented Marian AndersonFerruccio BusoniWalter GiesekingSergei RachmaninoffPaul Robeson, and numerous other celebrities. In the early 1910’s, a performance of Mignon was given at the theatre and in attendance was a teenage Wilfrid Pelletier . In an interview he gave in the late 1960’s to the French service of the CBC, Pelletier admitted that the performance made such an impression on him that he vowed then and there to not only become a professional musician, but that he would seek a musical education abroad, feeling his hometown could not provide what he was looking for.



After a short-lived stint as rehearsal pianist with the Montreal Opera Company, Pelletier started preparing for the Prix d'Europe competition, studying harmony, composition and performance. He was unsuccessful in the 1914 competition but won the prize in 1915.

Despite the fact that World War I was raging in Europe, he went to Paris in the autumn of 1916 to study with Isidor Philipp (piano), Marcel Samuel-Rousseau (harmony), Charles-Marie Widor (composition), and Camille Bellaigue (opera repertoire). Because of the war, however, he was forced to leave France at the end of June 1917. In view of the relative insecurity of the musical field in his own country, he decided to try his luck in the USA. There he met the conductor Pierre Monteux, who introduced him into the musical and operatic circles of New York, where he took up residence. He soon was offered a position as rehearsal pianist for French repertoire at the Metropolitan Opera, working with Caruso, Farrar, Rothier, Grace Moore, and many other famous singers. Thus began a 33 year relationship between him and the Met.

Also during this time he joined the touring company of the famous Italian baritone Antonio Scotti as assistant to the conductors Gennaro Papi and Carlo Peroni. It was on one of these tours, on 21 May 1920 in Memphis, Tenn, that Pelletier first conducted a complete opera: Il Trovatore. In 1922 he became assistant conductor at the Metropolitan Opera where he remained until 1950. Pelletier was the founding conductor of what would become the Orchestre Symphonique de Montreal, and helped found the Montreal Conservatory.

Synopsis (From: http://en.wikipedia.org/wiki/Mignon )

Time: End of the 18th century.
Place: Germany and Italy.

Act 1 - In the courtyard of an inn in a small German town, the wandering minstrel Lothario sings and the Gypsies dance while the townspeople watch and drink. Jarno threatens Mignon with a stick when she refuses to dance, but Lothario and Wilhelm Meister come to her aid. She thanks them and divides her bouquet of wild flowers between them. Wilhelm and Laerte have a drink together. Philine and Laerte leave, after he gives her his flowers from Mignon. Mignon tells Wilhelm she was captured by Gypsies as a child. Wilhelm decides to purchase Mignon’s freedom. Lothario comes to say goodbye to Mignon. Lothario wants Mignon to travel with him, but she stays with Wilhelm. Frédéric lovingly follows Philine in, but she also wants Wilhelm. The acting troupe is about to set off for a baron's castle after receiving an invitation to perform there. Mignon is deeply in love with Wilhelm, but upset to see the flowers that she gave him in the hands of Philine.

Act 2 - Philine’s room in the baron's castle, Philine is elated, living in the luxury and charming the baron. Laerte is heard outside, praising Philine. Wilhelm and Mignon enter. She pretends to sleep while Wilhelm and Philine sing. When the couple leave, Mignon tries on Philine’s costumes and make-up. She is jealous and exits. Frédéric enters. When Wilhelm returns for Mignon he is confronted by Frédéric. Mignon rushes in to break up their impending fight. Wilhelm decides that he cannot stay with Mignon and says goodbye to her. He leaves arm-in-arm with a jubilant Philine. Later, in the courtyard of the castle, Mignon is consumed by a jealous rage, when she hears Lothario playing the harp. He comforts the girl. Philine's portrayal of Titania in A Midsummer Night's Dream is applauded in the conservatory. Mignon, in jealously, shouts that she wishes the building would catch fire and runs out. Lothario hears her and moves toward the conservatory. After Mignon returns, Wilhelm receives her so warmly that Philine, now jealous, sends her to fetch the wild flowers in the conservatory. Wilhelm rushes to save Mignon from the fire that Lothario had set to please her, carrying her unconscious body out of the conservatory with the singed flowers still in her hand.

Act 3 - Wilhelm has brought Mignon and Lothario to a castle in Italy which he considers buying. There an old man watches over Mignon and prays for her recovery. Antonio relates how the castle’s previous owner had gone mad after his wife had died of grief over the loss of their young daughter. Wilhelm decides to buy the castle for Mignon because it has so speeded her recovery. Mignon awakens and confesses to Wilhelm of her love for this strangely familiar place. He finally realizes that he loves her deeply and resists Philine’s attempts to win him back. Lothario re-enters and informs the couple that he is the owner of the castle and that returning here has restored his sanity. After reading a prayer found in a book in the house, Mignon realizes the she is his daughter Sperata. The three embrace happily.

The Performance


Ambroise THOMAS (1811–1896)
Mignon (1866, rev. 1870), opéra comique in three acts
French libretto by Jules Barbier and Michel Carré, after Johann Wolfgang von Goethe

Main Characters

Rise Stevens (Mignon)
Mimi Benzell (Philine)
James Melton (Wilhelm Meister)
Ezio Pinza (Lothario)
Donald Dame (Laerte)
Lucielle Browning (Frederic)
Metropolitan Opera Chorus and Orchestra conducted by Wilfred Pelletier
(Broadcast of January 27, 1945)


Friday, June 15, 2012

Montage # 59 - The Fibonacci Sequence / La suite de Fibonacci


As of July 20, 2012, this montage will no longer be available on Pod-O-Matic. It can be heard or downloaded from the Internet Archive at the following address / A compter du 20 juillet 2012, ce montage ne sera plus disponible en baladodiffusion Pod-O-Matic. Il peut être téléchargé ou entendu au site Internet Archive à l'adresse suivante:

http://archive.org/details/TheFibonacciSequence




pcast059 Playlist

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English Commentary – le commentaire français suit




In the book Liber Abaci (Translation: The Book of Calculation, published in 1202), the author  considers the growth of an idealized (biologically unrealistic) rabbit population:


A newly born pair of rabbits, one male, one female, are put in a field; rabbits are able to mate at the age of one month so that at the end of its second month a female can produce another pair of rabbits; rabbits never die and a mating pair always produces one new pair (one male, one female) every month from the second month on.


How many pairs will there be in one year?




The author of the book, Leonardo of Pisa, known as Fibonacci, thus presents the first documented example of what has come to be known as the Fibonacci sequence, that is the number of pairs of rabbits after each month:


0, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, .., each number being derived as the sum of the two preceeding entries in the sequence, or




Fibonacci may have been the first western mathematician to have brought up the sequence, but the development of the Fibonacci sequence is attributed in part to Eastern mathematicians: Pingala (200 BC), Virahanka (c. 700 AD), Gopāla (c. 1135), and Hemachandra (c. 1150).


Some of you may remember the sequence being part of the at times twisted plot in the Dan Brown novel (and the Ron Howard motion picture) The DaVinci Code. Or this parody...





To illuistrate the sequence in the context of our “Music by the Numbers” montages, I will rely on a major work - the op. 1 caprices for solo violin by Paganini in the reference mono recording by Ruggiero Ricci. The entire recording is availabvle at:


http://archive.org/details/RuggieroRicci-PaganiniCaprices



The number “0” is represented by a movement from Bruckner’s Symphony no. 0 - Die Nullte (translated to The Zeroth, not to be confused with his symphony “00”, or his Studiensymphonie). The remainder of the sequence is illustrated by two feature works.

Czech composer Antonin Dvořák – a favourite of this blog – was a prolific chamber music composer. Over a period of almost 30 years, Dvořák's output of chamber music consists of more than 40 works for ensembles with strings, including  at least 14 string quartets, as well as a number of works for quartet that don’t follow the usual pattern (thinking here of theCypřiše (or Cypresses).

Though his most famous quartet may very well be his American (his op. 96), this charming op. 34 pre-dates his American stay by 15 years. Dvořák was a champion of folk music, and this quartet has all the charm and earmarks of what made him successful with audiences.

Edvard Grieg composed nearly two hours of music for Ibsen’s play Peer Gynt (Grieg’s op. 23) , most of which is worth listening to in context of the play. However, rightly or wrongly, the Peer Gynt music is most often heard in the form of the two concert suites Grieg assembled (his opp. 46 and 55). Where the first suite contains some of the most famous and enduring passages of the incidental music (the Morning Mood and the Hall of the Mountain King), the second suite has more the feel of being a set of Grieg’s favourites – and the song that Solveig sings in Act 4 of the play is hauntingly beautiful. The suite provides only the instrumental backdrop – the French commentary embeds  the song with soprano Lucia Popp.

I think you will love this music too.

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Commentaire français

Le mathématicien italien du XIIIe siècle Leonardo Pisano, mieux connu sous le nom de Leonardo Fibonacci posa le problème suivant dans son traité Liber Abaci, décrivant la croissance d'une population de lapins:

« Un homme met un couple de lapins dans un lieu isolé de tous les côtés par un mur. Combien de couples obtient-on en un an si chaque couple engendre tous les mois un nouveau couple à compter du troisième mois de son existence ? »

Ce problème est à l'origine de la suite de Fibonacci dont le n-ième terme correspond au nombre de paires de lapins au n-ème mois (voir le diagramme intégré au commentaire anglais_.

Fibonacci donne son nom à la suite d’entiers principalement car il fut le premier mathématicien occidental à la documenter. Toutefois, un bon nombre de mathématiciens Indiens ont abordé la même séquence numérique: Pingala (200 av. J-C), Virahanka (c. 700 ap. J-C), Gopāla (c. 1135), and Hemachandra (c. 1150).

Afin d’illustrer la suite, j’ai opté principalement pour des sélections de l’op. 1 de Nicolo Paganini, sa collection de caprices pour violon seul. L’enregistrement MONO du violoniste Ruggiero Ricci est la source de ces extraits – l’opus au complet fut téléchargé originalement à partir du site Public Domain Classic, et peut être téléchargé ici  . Voici l’intégrale :


Le premier élément de la suite (le zéro) est illustré par un mouvement de la symphonie Die Nullte (ou no. 0) de Bruckner – à ne pas confondre avec sa Studiensymphonie, no. 00).

Un compositeur auquel je fauis souvent appel dans mes montages est le Tchèque
Antonin Dvořák. Comme compositeuir de musique de chambre, il fut des plus prolifiques, et compte une quinzaine d’oeuvres pour quatuor à cordes, don’t la majorité suivent la formule habituelle des quatre mouvements. Son quatuor op. 96 (le quatuor dit Américain, ou parfois appelé le drapeau Américain)  est sans doute un de ses quatuors les plus joués, faisant la démonstration d’un des stratagèmes préférés du compositeur : l’usage de thèmes folkloriques. Le quatuor choisi aujourd’hui – son neuvième, op. 34, est un autre bel exemple de ces trucs.

Une des compositions les plus célèbres du Norvégien Edvard Grieg fut la musique qu’il composa pour accompagner la pièce d’Ibsen Peer Gynt. Des deux heures de muysique qui forment son op. 23, Grieg tira deux suites d’extraits (ses opp. 46 et 55). Pour le meilleur ou pour le pire, c’est dans cette forme que la majorité des mélomanes fuirent exposés à cette musique – hors du contexte de la pièce et faisant uniquement appel à l’orchestre, privant l’auditoire des passages choraux et des chansons conçues pour la scène. Si la première suite de Grieg contient les moments les plus adulés de la musique de scène (comme l’antre du Roi des Montagnes) , la deuième comprebd des titres qui (je suppose) sont des préférées du compositeur. En particulier, la chandon de Solveig (du quatrième acte) est particulièrement touchante – mais gagne plus de « punch » quand chantée – comme c’est le cas ici par Lucia Popp:



Bonne écoute!


Tuesday, June 12, 2012

Quoi de 9?



Notre volet de numérologie musicale d’aujourd’hui jette un coup d’oeil sur le numéro 9.
Récemment, j’ai exploré la neuvième deBeethoven et je vous propose aujourd’hui des extraits de neuvuième symphonies de Dvořák et Mahler (sous Karajan et Bernstein, respectivement).
Le neuvième concerto pour piano de Mozart est sous-titré “Jeunehomme”, apparemment en hommage à la pianiste qui l’aurait dréé en 1777. Le musicologue Michael Lorenz  suggère que la soliste en question est Victoire Jenamy (1749-1812), la fille d’un ami du compositeur. Ma sélection pour la playlist est la pianiste Clara Haskil, accompagnée par Igor Markebitch à Lausanne en 1955 (donc, sans doute dirigeant l’Orchestre de la Suisse Romande).
L’opus 9 de Frederic Chopin est un trio de nocurnes, chacune plus brillante que la précédente dans la séquence. Le pianiste Artur Rubinstein est notre soliste.
Finalement, deux sélecytions du répertoire populaire. La première, iune chanson qui domina le palmarès à la fin des années 50, est une chansopn reprise maintes fois par des groupes de l’époque. “Love Potion no. 9” (Trad: Le philtre d’amour no. 9). La chanson raconte l’histoire d’un jeune homme qui cherche à améliorr ses succès auprès des dames, et se voit recommander cette potion magique qui l’amène à embrasser tout ce qu’il voit, y compris un flic qui confisque sa petite bouteille…
L’autre plage populaire est extraite du légendaire album « blanc » des Beatles, et se veut une composition avant-gardiste dans le mode de Varèse ou de Stockhausen. Pour nous d’un certain âge, Revolution était la face B du 45-tours de « Hey Jude », mais rien de ce Revolution 9  électro-acoustique ne suggère la versi originaleon!
Bonne écoute!
DETAILS


Mike STOLLER (* 1933)
Love Potion No. 9 (1959)
The Searchers

Frédéric CHOPIN (1810-1849)
Nocturnes pour piano, op. 9
No. 1 (si bémol mineur)
No. 2 (mi bémol majeur)
No. 3 (si majeur)
Artur Rubinstein, piano

Antonín DVOŘÁK (1841-1904)
Deuxième mouvement (Largo) extrait de la  Symphonie no.9 en mi mienur (Du Nouveau Monde), Op. 95
Herbert von Karajan dirige le Wiener Philharmoniker

(Performance intégrale)

Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791)
Troisième mouvement (Rondeau: Presto) extrait du concertoi pour piano no.9 en mi bémol majeur, K. 271 ('Jeunehomme')
Clara Haskil, piano avec Igor Markevich dirigeant l'Orchestre de la Suisse Romande

(Performance intégrale) 

Gustav MAHLER (1860-1911)
Quatrième mouvement (Adagio. Sehr langsam und noch zurückhaltend) extrait de la Symphonie no.9 en ré majeur (1908-09)
Leonard Bernstein dirige le Koninklijk Concertgebouworkest

(Performance intégrale)

John LENNON (1940 –1980)
Sir James Paul McCARTNEY (* 1942)

Revolution 9 (1968)
The Beatles

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Friday, June 8, 2012

Montage # 58 - 7 & 11


As of July 13, 2012, this montage will no longer be available on Pod-O-Matic. It can be heard or downloaded from the Internet Archive at the following address / A compter du 13 juillet 2012, ce montage ne sera plus disponible en baladodiffusion Pod-O-Matic. Il peut être téléchargé ou entendu au site Internet Archive à l'adresse suivante:

http://archive.org/details/7And11


pcast058 Playlist

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English Commentary – le commentaire français suit


The numbers 7 and 11 have a special meaning in dice. According to Yahoo Answers, craps is one of the most exciting casino games.

The first roll of the dice in a betting round of craps is called the Come Out roll - The dice are rolled across the craps table layout. The layout is divided into three areas - two side areas separated by a center one. Each side area is the mirror reflection of the other and contains the following: Pass and Don't Pass line bets, Come and Don't Come bets, Odds bet, Place bets and Field bets. The center area is shared by both side areas and contains the Proposition bets.


Pass bets win when the come out roll is 7 or 11, while pass bets lose when the come out roll is 2, 3, or 12.Don't bets lose when the come out roll is 7 or 11, and don't bets win when the come out roll is 2 or 3. Don't bets tie when the come out roll is 12 (2 in some casinos; the 'Bar' roll on the layout indicates which roll is treated as a tie).

How confusing!

Maybe we should be better served by the more common North-American reference to 7 and 11 – that is the convenbience stores that initially were open from 7 am to 11 pm, hours unprecedented in their length, hence the name. The company began to use the 7-Eleven name in 1946. By 1952, 7-Eleven opened its 100th store. Today, the stores are open 24 hours, but the name remains…

In the context of our music by the numbers series, we will sample some 7’s and 11’s from Classical Music, and two works in particular.

The Piano Trio in B-flat major, Op. 97, by Ludwig van Beethoven is commonly referred to as the Archduke Trio, because it was dedicated to Archduke Rudolph of Austria, an amateur pianist who was a friend and studied composition with him. Although the "Archduke Trio" is sometimes numbered as "No. 7", the numbering of Beethoven's twelve piano trios is not standardized, and in other sources the Op. 97 trio may be shown as having a different number, if any.

The first public performance was given with Beethoven himself at the piano at the Viennese hotel Zum römischen Kaiser on 11 April 1814. His deafness affecting more and more his ability as a performer, this performance stands out as Beethoven's last public performance in the role of pianist.

The Concerti Grossi, Op. 6, or Twelve Grand Concertos, are a set of 12 concerti by Georg Frideric Handelfor a concertino trio of two violins and cello and a ripieno four-part string orchestra with harpsichord continuo. I retained the penultimate concerto of the set (no. 11, HWV 329), Accoording to music historianCharles Burney (1726-1814) “... the Symphony, or introduction, of the andante is extremely pleasing; and no less remarkable for its grace, than the boldness with which the composer, in order to bring in the answers to points of imitation, has used double discords, unprepared. The Solo parts of this movement were thought more brilliant, than easy and natural to the bow and finger-board, forty-years ago.”
To complete the programme, a number of “single selections” that meet our numerical criteria fromPaganiniDvořák, Albeniz and Rachmaninoff. As filler, here is the complete set of Etudes-Tableaux:





I think you will love this music too.

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Commentaire français


Les nombres 7 et 11 sont associés aux jeux de hasard et – spécifiquement – les jeux de dés. Le numéro sept est la somme des deux faces opposées d'un dé ; c'est aussi la somme la plus probable quand on joue avec deux dés : 1+6, 2+5, 3+4 soit six possibilités alors que six donne : 1+5, 2+4, 3+3 soit cinq possibilités (3+3 ne faisant qu'une possibilité)…Au casino, rouler un 7 ou un 11 signifie parfois une victoire, et parfois un échec – mais la magie de remporter le magot avec un seul coup doit être fantastique!

Autant ceretains nombres (comme le 13) peuvent être considérés malchanceux, le 7 est, par contre, uin chiffre chanceux: il y a le 7ie ciel, sept couleurs de l’arc-en-ciel… Les bouddhistes, la Bible, les mythologies  Grecques et Egyptiennes ont leurs traditions qui impliquent le 7… Plus d'explications ici.




Et aujourd’hui, nous présentons des œuvres musicales qui ont en commun le 7 et le 11, dont deux en particulier qui partagent le rôle d’œuvres principales de ce montage.

Le trio en si bémol majeur,  Op. 97, de  Ludwig van Beethoven est surnommé l’Archiduc car il est dédié à l’ami et élèeve du compositeur, l’Archiduc Rodolphe d’Autriche. Quoique le catalogue Heess lui confère le"No. 7", la numérotation des trios de Beethoven varie d’une compilation à l’autre – si on compte les oeuvres sans numéros d’opus, Beethoven a composé au moins 12 oeuvres pour la combinnaison piano-violon-violoncell, et ce sans compter le triple concerto.

Fait intéressant, Beethoven agit comme pianiste lors de la première du trio à Vienne en 1814, et sera sa dernière prestation publique comme pianiste, sa surdité ayant à ce moment-là considérablement érodé ses facultés pianistiques.

L’op. 6 de  Georg Frideric Handel est un ensemble de 12 Concerti Grossi (ou grands concerti) pour deux violons, violoncelle, cordes et continuo. J’ai choisi le 11ie concerto de cette collection (HWV 329), qui se veut un exemple charactéristique du genre telk que conû et élaboré par ce maître baroque. 

En complément de programme, des 7 et des 11 de PaganiniDvořákRachmaninoff and Albeniz. Voici d'ailleurs sa suite en entier:





Bonne écoute!

Tuesday, June 5, 2012

Schubert for two pianists, four hands


This is a past Tuesday Blog from 5 June 2012. 


The occasional pairing of Austrian pianists Paul Badura-Skoda and Jörg Demus has resulted on a number of recordings in the 50’s and as late as a few years ago, notably of Schubert and Mozart’s works for piano 4-hands.

Both pianists are born in the 1920’s, and are recognized as being specialists of late classical to late romantic/early contemporary repertoires, having collaborated as performers and as authors (co-authoring analyses of the Beethoven sonatas, for example). Accomplished soloists in their own right, their unique insight in the late classical composers makes their Schubert stand out – and I personally have enjoyed these “in performance” recordings of these familiar works.

Here is a performance by the duo, from five years ago, performing one of the works featured in this week's playlist:





PLAYLIST DETAILS



Franz SCHUBERT (1797 - 1828)

Three Military Marches for piano duo, D. 733

  • No. 1 (D Major)
  • No. 2 (G Major)
  • No. 3 (B Flat Major)

Rondo in D Major for piano duo, D. 608
Rondo in A Major for piano duo, D. 951
Eight variations on an original theme, in A Flat Major, for piano duo, D. 813
Fantasy in F Major for piano duo, D. 940 



Performed by Paul Badura-Skoda and Jörg Demus, pianists
(Recorded in performance, Milan 1978)
Downloaded from MP3.COM on 23 November, 2001



Jadis sur Internet - Schubert pour deux pianistes et quatre mains

In English:  http://www.talkclassical.com/blogs/itywltmt/968-once-upon-internet-schubert.html


 





L'héritage musical deMP3.COM

Mp3.com, établi en novemnbre 1997 par Michael Robertson et Greg Flores est une adresse internet historique, particulièrement pour les artistes dits "indépendents" qui (à 
l'apogée du service) assuraient la majorité de son contenu. En quelque sorte, ce site était La Mecque de la musique nouvelle, servant de vitrine à un grand nom d'artistes et de groupes jusque là inconnnus.


Si MP3.COm semblait changer la donne, ou même ouvrir la porte à une révolution musicale (et au niveau contenu et au niveau distribution), ll'arrivée de sites d'échange comme Napster mit rapidement un bémol sur les ambitions du site, avec leur façon de procurer des titres d'artistes établis.


A un certain moment le site procurait 4 millions de fichier MP3 par jour à près de 25 millions d'abonnés. Pendant quatre ans (1999-2003)  j'étais un de ces abonnés, téléchargeant des titres de musique classique d'artistes amateurs ou établis, pour solistes et ensembles. Dans certains cas, il s'agissait de plages individuelles, dans d'autres cas des "albums MP3" complets, et ce gratuitement!


La lune de miel prit fin loirsque l'industrie embrassa le Web, et un MP3.COM  fauché fut absorbé par le géant Vivendi Universal en 2001, et le site et l'adresse fut vendue à CNET en 2003.

Comme je l'ai fait pour certains titres téléchargés de Public Domain Classic, j'entends proposer une playlist mensuellement provemant de ces téléchargements: parfois des albums entiers, d'autres fois des collections de plages. J'espère que l'expérienvce sera fructueuse!




Nos artistes d'aujourd'hui

Les pianistes Autrichiens Paul Badura-Skoda et Jörg Demus ont fait équipe comme pianistes duettistes occasionellement, et cette collaboration a produit des enregistrements d'oeuvres de Schubert et Mozart pour piano quatre-mains.

Ces pianistes sont tous deux nés à la fin des années 1920, et sont des solistes, accompagnateurs et musicologues recoonnus internationalement - ils ont même travaillé sur une analyse/anthologiue des sonates de Beethioven comme co-auteurs.



Cette paire d'artistes chevroinnés, à l'aise dans le répertoire classique et romantique proposent une conceprion de Schubert qui m/rite votre écoute! Afin de vous taquiner, les voici il y a cinq ans dans une de nos oeuvres primées cette semaine:



 


DETAILS


Franz SCHUBERT (1797 - 1828)

Trosi marches militaires pour piano duo, D. 733

  • No. 1 (ré majeur)
  • No. 2 (sol majeur)
  • No. 3 (si bémol majeur)
Rondo en ré majeur pour piano duo, D. 608
Rondo en la majeur pour piano duo, D. 951
Huit variations sur un thème original, en la bémol majeur, pour piano duo, D. 813
Fantaisie en fa majeur piano duo, D. 940 



Interprétées par Paul Badura-Skoda et Jörg Demus, pianistes duettistes
(Enregistrements publics, Milan 1978)
Télécharement MP3.COM en date du 23 novembre 2001


(URL: http://archive.org/details/SchubertP...anoQuatreMains)