http://archive.org/details/InMemoriamTheyLeftUsIn2012
pcast082- Playlist
===================================================================== English Commentary – le commentaire français suit
To conclude our month-long In Memoriam series, I assembled a montage of works of artists who have left us in the past few months. Some of the contributors are, it is fair to say, giants in the wold of Classical Music: a pair of composers, and some great performers who clearly left large shoes to fill.
Before we start, however, I think it appropriate to pay tribute to some of the great populatr musicians and singers who left us this year, none quite as big as the lady who starts off our YouTube playlist:
To start off our In Memoriam tribute, one of our most recenbt losses, avant-garde composer Elliott Carter who passed away in his sleep a month shy of his 104th birthday (Click here for the obituary). His short Enchanted Preludes is a fine example of his simple, accessible style.
We lost a pair of great pianists this year: Alexis Weissenberg in January (obituary) and Brigitte Engerer in June (obituary). Mrs Engerer is featured here in a set of short piano works by Modeste Mussorgsky from her fine recording of his piano worls for Harmonia Mundi (which featured a terrific Pictures at an Exhibition), Weissenberg’s recording catalogue is huge, and one of my favourite recordings of his is of Debussy’s piano works, and his Estampes showcase his usual measured style.
For me, three legendary performers stand out – albeit all three had long since retired from the stage and studio. Maurice André (obituary) established the nobility of the classical trumpet, Ruggerio Ricci’s flashy violin technique (obituary) dominated late-MONO, early-stereo recordings and paved the way for a generation of outstanding Italian violin virtuosi, most notable Salvatore Acccardo. As for Dietrich Fischer-Dieskau (obituary), he stands alone as not only the finest male lieder singer, but probably the finest baritone voice of his or any generation. All three get complete performances of great works for their respective instruments. Fisher-Dieskau’s rendition of Winterreise by Schubert (his trademark work) would prbably use up an entire montage by iteself – this is why I only selected a few lieder from the cycle, and offer the complete performance here:
To conclde the montage, composer and Julliard-trained pianist Marvin Hamlisch (obituary) is featured here in the latter capacity, from probably his most memorable film score, adapting the music of Scott Joplin for the George Roy Hill feature The Sting (for which he received an Academy Award, one of two that year, the second for composing the music for the Award-Winning song, The Way We Were).
I think you will love this music too
=====================================================================Commentaire français
(Ce montage est présenté « en tandem » avec Quinze que j’en pense)
Notre série de montage nécroologiques prend fin cette semaine avec un regard tourné vers les artistes qui nous ont quittés au cours des derniers mois. La vaste majorité de notre montage de cette semaine est dédié à un trio de grands artistes, mais il ne faut pas négliger certaines personalités de la musique populaire qui nous ont quittés cette année – iquelques uns se retrouvent dans une Playlist intégrée au commentaire anglais ci-haut.
Je commence cette réflexion avec ce trio de disparus, qui ont quitté la scène depuis fort loingtemps et qui se sont éteints paisiblement en février, mai et août respectivement.
Maurice André (lire sa nécrologie ici) est sans doute la figure de proue pour la trompette baroique et classique. Peu d’artistes classiques (mis à part Wynton Marsalis, pour d’autres raisons) se distinguent et pour leur versatilité et leur virtuosité. La fanfare de Mouret (dont on n’entend souvent que le Rondeau d’entrée) est un bon exemple du jeu exceptionnel de ce grand maître.
Dietrich Fischer Dieskau (nécrologie), à l’instar de M. André, se démarque également pour sa capabité de baryton lyrique, et plus spécialement comme interprète des grands lieder du répertoire germanique. Le cycle Winterreise est probabblement l’œuvre la plus étroitement liée à notre baryton, et j’ai intégré au commentaire anglais le cycle intégral, me contentant d’une poignée de sélections pour le montage.
Ruggerio Ricci (nécrologie) marqua à sa façon la discographie pour le violon, avec un accent particvulier sur l’ensemble de l’œuvre pour violon de son compatriote, Nicolo Paganini. M. Ricci es iun contemporain de grands violonistes (Oistrakh, Stern et Grimaux, entre autres) mais reste sans doute le plus mémorable des solistes Italiens de l’ère mono, et du stéréo naissant.
J’ai retenu deux pianistes qui nous ont quittés cette année: Alexis Weissenberg (nécrologie) et Brigitte Engerer (nécrologie) dans des pages de Debussy et Moussorgski, respectivement.
Finalement, deux compositeurs américains: Elliott Carter (nécrologie) et Marvin Hamlisch (nécrologie), le premier nous a quitté à presque 104 ans, l’autre victime d’un cancer beacoup plus jeune. M. Hamlisch, qui a fait carrière à Broadway et Hollywood est présenté ici comme pianiste, exécutant l’un des ragtimes de Scott Joplin qu’il adapta pour le film L'Arnaque.
Bonne écoute!