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English Commentary - le commentaire français suit
To close our month-long Number One obsession, an all-Beethoven program, featuring three obvious, yet interesting choices.
Beethoven wrote four overtures to his only opera, Fidelio. The opera was initially entitled “Leonora”, and it has had three attempts at an overture (numbered 1 to 3). His first attempt, for the 1805 premiere, is believed to have been the overture now known as "Leonore No. 2". Beethoven then focused this version for the performances of 1806, creating "Leonore No. 3". The overture (featured this summer in our musical holidays series) is more of a symphonic synthesis of the opera and had the effect of overwhelming the (rather light) initial scenes of the opera. Beethoven accordingly experimented with cutting it back somewhat, for a planned 1808 performance in Prague; this is believed to be the version now called "Leonore No. 1". The rendition I chose is by Otto Klemperer and the Philharmonia.
Beethoven’s first piano concerto is really his third: after a student work (catalogued as WoO 4), and his concerto in B Flat major (which is numerically his second because it was published after the C major concerto). Confused yet?
I understand why the C major concerto was published first: it is showier than the B Flat concerto, and is more aligned with the similar works by Haydn and Mozart. I chose to use the version by Murray Perahia and the Concertgebouw, using the Beethoven cadenzas in the first and third movements.
As has now become my tradition in this Beethoven series, a few words from Leonard Bernstein about Beethoven’s first symphony
The performance I chose is from the great Leibowitz set.
I think you will love thos music too
Commentaire français
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Afin de mettre fin en douceur à notre obsession numéro un pour le mois d’octobre, un programme tout-Beethoven qui propose trois choix autant évidents qu’intéressants.
Beethoven a écrit au moins quatre ouvertures pour son unique opéra, Fidelio. Dans sa version originale (Leonora, op. 72a), Beethoven a proposé non moins de trois ouvertures, numérotées de 1 à 3. Lors de la première de Leonora en 1805, l’ouverture dite no. 2 fut interprétée en lever de rideau. Toujours insatisfait, il retravaille l’ouverture et elle devient une espèce de synthèse symphonique de l’opéra – jugée trop lourde en comparaison aux premières scènes plus légères, l’ouverture dite no. 3 (figurant dans notre vacance musicale en Espagne) fut mise de côté pour une production à Prague en 1808, où Beethoven la remplace par l’ouverture dite no. 1, interprétée aujourd’hui par Klemperer et la Philharmonia.
Le premier concerto pour piano de Beethoven est, en réalité, le troisièeme qu’il composa. En ordre, il y a un concerto de jeunesse (WoO 4), le concerto en si bémol majeur, publié après ce concerto en ut majeur. Il y a de quoi être mêlé…
On peit comprendre pourquoi Beethoven publie le concerto en ut majeur avant le concerto en si bémol: il s’agît d’une œuvre qui a de plus beaux moments pianistiques, et se veut plus proche de Mozart et Haydn que son cousin en si bémol. J’ai choisi la prestation de Murray Perahia avec le Concertgebouw, car le pianiste exécute les cadences originales de Beethoven au premier et troisième mouvements.
Tant qu’à la première symphonie, comme Bernstein le souligne dans sa vignette d’introduction (voir le commentaire anglais), elle se présente comme une sympohonie tràs “classique”, jusqu’au troisième movement, où le compositeur fait appel à un scherzo plutôt qu'au menuet traditionnel. Aujourd'hui, j'ai puisé la prestation de l'intégrale Leibowitz.
Bonne /coute!
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