Friday, April 19, 2013

Montage # 101 - C'est féérique




As of May 17, 2013, this montage will no longer be available on Pod-O-Matic. It can be heard or downloaded from the Internet Archive at the following address / A compter du 17 mai 2013, ce montage ne sera plus disponible en baladodiffusion Pod-O-Matic. Il peut être téléchargé ou entendu au site Internet Archive à l'adresse suivante:

https://archive.org/details/Pcast101



pcast101- Playlist

===================================================================== English Commentary – le commentaire français suit


In this new instilment of my “Tell Me A Story” series, we now turn to bedtime, lands of imagination and – of course – fairies (or is it faeries?)

Fairies are represented by two overtures to operas: Die Feen (Richard Wagner’s first completed opera) and a Gilbert and Sullivan favourite.Billed as a "Fairy Opera," Iolanthe; or, The Peer and the Peri premiered on November 25, 1882 simultaneously at the Savoy Theater in London and the Standard Theater, New York.  In two acts, Iolanthe presents the convergence of two worlds. Strephon, and Arcadian shepherd, the fairy Iolanthe, Strephon's mother, and choruses of Fairies interact with earthly Victorian-era characters. Critics have compared the quality of Iolanthe to that of Jacques Offenbach's La Belle Hélène and Johann Strauss, Jr.'s Die Fledermaus.

Ravel’s Ma Mère l’Oye (or the Mother Goose) is labelled with the Roman numeral II, as it reuses and builds on the handful of miniatures that compose the original suite Ravel wrote for piano four-hands, presented below

 


Czech composer Leos Janácek's Pohádka is his earliest surviving instrumental duet. Set forfor cello and piano, it is in a free sonata form and might well have been named "Sonata" or "Sonata-fantasy”.
The piece,  inspired by Vasily Zhukovsky's poem The Tale of Tsar Bendvei, is a fairy tale without words involving a young warrior-prince who finds himself taken by the king of the underworld. He has to triumph in tests of valor and magic, and is aided in this by the king's daughter, who has fallen in love with Bendvei. The Janácek is preceeded in our montage by a Canadian orchestral overture by Oskar Morawetz. Like his other well-known Carnival overture, Overture to a Fairy Tale is a very lyrical and atmospheric work, bridging nicely between neo-romantic traditions and contemporary sounds.

The last work in our montage is by Jaz artist and Eastman-trained musician Chuck Mangione. His Land of Make Believe is the title track to a live album he recorded at Hamilton Ontario’s Hamilton Place with some of his Rochester-based musician colleagues and the Hamilton Philharmonic. The energy is palpable, and the resulting performance is irresistible.

I think you will love this music too.

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Commentaire français

Le programme d'aujourd'hui explore le monde des fées et des contes de fées. Un monde qui, comme le monde fantastique exoloré la semaine dernière, est surréel sans avoir un aspect orageux. En fait, c'est un monde imaginaire, magique et souvent plein de morales.

Commençons avec des musiques modernes et lyriques, issues de deux compositeurs d'origine tchjèque. Le premier, Oskar Morawetz, fur naturalisé Canadien en 1946. Son ouverture "pour un conte de fées" fut créée par le chef  Thomas Mayer et le défunt Halifax Symphony Orchestra en 1957, et est un bon exemple du style du compositeur - un croisement entre le néo-clacissisme et le néo-romantisme, sans un recours spécifique aux formules dites "d'avant-garde" du XXe siècle.

L'autre oeuvre est d'un compositeur national, Leos Janácek. Ce "conte de fées" sous-titré "le conte du Tsar BendveiÈ suit une forme sonate, et est (à tout le moins) iun duo pour violoncelle et piano, sinon une sonate pour cette combinaison d'instruments. Les p.ripéties du Tsar Bendvei s'étalent sur trois mouvements, qui rappellent les mélodies folkloraiques des compatriotes tou-aussi célèbres du compositeur, dont Smetana et Dvorak.

Parmi les contes de fées pour orchestre les plus célèbres, on ne peut ignorer la musique de ballet de Maurice Ravel pour Ma Mère l'Oye, une afdaptation des miniatures pour piano à quatre mains (voir le commentaire anglais ci-haut) qu'il composa quelques années auparavant (sont l'usage du Chiffre Roimain II dans le titre). Parmi les contes explorés par Ravel on recoonnaît le Petit Poucet, la Belle su Bois Dormant et Belle et la Bête.

Un autre hommage aux contes et au monde de l'imaginaire vient du jazzman et diplômé (tardif) de l'Eastman School of Music, Chuck Mangione. En effet, Mngione et son frère s'étaient déjà établis (sous le sobriquet des Jazz Brothers) comme de solides interprètes quand Chuuck décida de prendre un congé et entreprit une formation sérieuse en composition et direction d'orchestre à l'institution de Rochester.

Après ce séjour, Mangione, son frère et une trôlée de musiciens de la région ont travaillé ensemble sur une multitude de projets plutôt ambirieux, dont l'album Land of Make Believe de 1974. La chanson-titre, interprétée par la chanteuse Esther Satterfield supportée par des éléments Jazz (dont le flugelhorn indicatif du compositeur) et un grand orchestre (ici, la Philharmonique d'Hmilton en Ontario) propose un texte à la fois naïf et spirituel. Les thèmes suivent les règles usuelles du jazz, et l'énergie déployée par l'ensemble des interprètes est tout à fait palpable et contagieuse!

En début de programme, un regard sur le monde des fées, signé Richard Wagner avec l'ouverture à son premier opéra Die Feen et de Sir Arthur Sullivan  l'ouverture à son opérette Iolanthe, une oeuvre Victorienne qui allie le monde de la politique du jour et le monde surréel des fées.

Boinne .coute!





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