Jeudi dernier, j’ai publié un billet et un montage autour du jour de la marmotte. Toutefois, le jour de la marmotte peut prendre une toute autre signification… En 1993, le réalisateur américain Harold Ramis propose le film Un jour sans fin – (VO Groundhog Day). Plutôt que d’expliquer la prémice du film, voici un extrait (dans l’anglais original) :
J’ai décidé aujourd’hui de me servir de l’idée de M. Ramis, celle de la reprise, pour utiliser des matériaux YouTube que j’avais préparés originalement pour ce qui deviendra le montage «Beethoven avec trois E», présenté dans ces pages en septembre dernier. Même programme, mais des interprètes différents, qui me permettra également de fournir des contributions à mes séries en continuité sur Beethoven et Glenn Gould.
Un rappel:
Beethoven s’écrit avec trois “E” (vous l’avez sans doute remarqué…) et les trois œuvres primées aujourd’hui ont non-seulement la lettre E en commun dans leurs titres, mais elles ont aussi un fil en commun.
DETAILS
Ludwig van BEETHOVEN (1770-1827)
Ouverture Egmont, op. 84
New-York Philharmonic sous Lorin Maazel
Concerto pour pinao no. 5 en mi bémol majeur, op. 73 (Empereur)
Glenn Gould et le Toronto Symphony sous Karel Ancerl
Symphonie no. 3, en mi bémol majeur, op. 55 (Eroica)
Berliner Philharmoniker sous Wilhelm Furtwangler
Bonne écoute!
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