https://archive.org/details/Pcast101
pcast101- Playlist
===================================================================== English Commentary – le commentaire français suit
In this new instilment of my “Tell Me A Story” series, we now turn to bedtime, lands of imagination
and – of course – fairies (or is it faeries?)
Fairies are
represented by two overtures to operas: Die
Feen (Richard Wagner’s first completed opera) and a Gilbert and Sullivan favourite.Billed as a
"Fairy Opera," Iolanthe; or,
The Peer and the Peri premiered on November 25, 1882 simultaneously at the
Savoy Theater in London and the Standard Theater, New York. In two acts, Iolanthe presents the convergence
of two worlds. Strephon, and Arcadian shepherd, the fairy Iolanthe, Strephon's
mother, and choruses of Fairies interact with earthly Victorian-era characters.
Critics have compared the quality of Iolanthe to that of Jacques Offenbach's La Belle
Hélène and Johann Strauss, Jr.'s
Die Fledermaus.
Ravel’s Ma
Mère l’Oye (or the Mother Goose) is labelled with the Roman numeral II, as
it reuses and builds on the handful of miniatures that compose the original
suite Ravel wrote for piano four-hands, presented below
Czech
composer Leos Janácek's Pohádka is his earliest surviving
instrumental duet. Set forfor cello and piano, it is in a free sonata form and
might well have been named "Sonata" or "Sonata-fantasy”.
The piece, inspired by Vasily Zhukovsky's poem The Tale
of Tsar Bendvei, is a fairy tale without words involving a young warrior-prince
who finds himself taken by the king of the underworld. He has to triumph in
tests of valor and magic, and is aided in this by the king's daughter, who has
fallen in love with Bendvei. The Janácek
is preceeded in our montage by a Canadian orchestral overture by Oskar Morawetz. Like his other
well-known Carnival overture, Overture to a Fairy Tale is a very
lyrical and atmospheric work, bridging nicely between neo-romantic traditions
and contemporary sounds.
The last
work in our montage is by Jaz artist and Eastman-trained musician Chuck
Mangione. His Land of Make Believe is the title track to a live album he
recorded at Hamilton Ontario’s Hamilton Place with some of his Rochester-based
musician colleagues and the Hamilton Philharmonic. The energy is palpable, and
the resulting performance is irresistible.
I think you will love this music
too.
=====================================================================
Commentaire françaisLe programme d'aujourd'hui explore le monde des fées et des contes de fées. Un monde qui, comme le monde fantastique exoloré la semaine dernière, est surréel sans avoir un aspect orageux. En fait, c'est un monde imaginaire, magique et souvent plein de morales.
Commençons avec des musiques modernes et lyriques, issues de deux compositeurs d'origine tchjèque. Le premier, Oskar Morawetz, fur naturalisé Canadien en 1946. Son ouverture "pour un conte de fées" fut créée par le chef Thomas Mayer et le défunt Halifax Symphony Orchestra en 1957, et est un bon exemple du style du compositeur - un croisement entre le néo-clacissisme et le néo-romantisme, sans un recours spécifique aux formules dites "d'avant-garde" du XXe siècle.
L'autre oeuvre est d'un compositeur national, Leos Janácek. Ce "conte de fées" sous-titré "le conte du Tsar BendveiÈ suit une forme sonate, et est (à tout le moins) iun duo pour violoncelle et piano, sinon une sonate pour cette combinaison d'instruments. Les p.ripéties du Tsar Bendvei s'étalent sur trois mouvements, qui rappellent les mélodies folkloraiques des compatriotes tou-aussi célèbres du compositeur, dont Smetana et Dvorak.
Parmi les contes de fées pour orchestre les plus célèbres, on ne peut ignorer la musique de ballet de Maurice Ravel pour Ma Mère l'Oye, une afdaptation des miniatures pour piano à quatre mains (voir le commentaire anglais ci-haut) qu'il composa quelques années auparavant (sont l'usage du Chiffre Roimain II dans le titre). Parmi les contes explorés par Ravel on recoonnaît le Petit Poucet, la Belle su Bois Dormant et Belle et la Bête.
Un autre hommage aux contes et au monde de l'imaginaire vient du jazzman et diplômé (tardif) de l'Eastman School of Music, Chuck Mangione. En effet, Mngione et son frère s'étaient déjà établis (sous le sobriquet des Jazz Brothers) comme de solides interprètes quand Chuuck décida de prendre un congé et entreprit une formation sérieuse en composition et direction d'orchestre à l'institution de Rochester.
Après ce séjour, Mangione, son frère et une trôlée de musiciens de la région ont travaillé ensemble sur une multitude de projets plutôt ambirieux, dont l'album Land of Make Believe de 1974. La chanson-titre, interprétée par la chanteuse Esther Satterfield supportée par des éléments Jazz (dont le flugelhorn indicatif du compositeur) et un grand orchestre (ici, la Philharmonique d'Hmilton en Ontario) propose un texte à la fois naïf et spirituel. Les thèmes suivent les règles usuelles du jazz, et l'énergie déployée par l'ensemble des interprètes est tout à fait palpable et contagieuse!
En début de programme, un regard sur le monde des fées, signé Richard Wagner avec l'ouverture à son premier opéra Die Feen et de Sir Arthur Sullivan l'ouverture à son opérette Iolanthe, une oeuvre Victorienne qui allie le monde de la politique du jour et le monde surréel des fées.
Boinne .coute!
No comments:
Post a Comment