A propos des symphonies de Brahms
Mon impression personnelle des symphonies de Brahms se résume à ceci: parfois on
parle du «tout qui est plus grand que la somme de ses composantes». Je pense,
que pour Brahms on doit parler d’un amalgame de grandes symphonies individuelles: la gestation difficile de
la première, l’aspect serein de la deuxième, l’aspect tragique de la troisième et l’irrésistible quatrième.
Il serait injuste de comparer les symphonies de
Brahms en groupe avec, disons, l’ensemble des symphonies de Beethoven, ou même de Bruckner ou de Mahler – qui ont chacun composé le double de l’output symphonique
de Brahms et qui font la démonstration à leur manière d’une évolution
indéniable.
Ceci n’est pas un constat négatif – mais un constat
tout de même. Ainsi donc, là où on peut chercher une vision globale chez un
ensemble de symphonies de la part de tel ou tel chef, il reste que ce qui
comnpte le plus est l’aspect interprétation des symphonies individuelles.
Dans ma collection
Notre Festival Brahms a fiat appel à quatre
prestations sur microsillon sous le bâton de quatre chefs différents: Carlo-Maria
Giulini, Leonard Bernstein, Istvan Kertesz and Eugen
Jochum.
Comme il se doit, j’ai plusieurs versions différentes de ces symphonies, et je détiens particulièrement trois « intégrales » qui font l’objet des prochains paragraphes.
Comme il se doit, j’ai plusieurs versions différentes de ces symphonies, et je détiens particulièrement trois « intégrales » qui font l’objet des prochains paragraphes.
Carlo Marian Giulini et l’orchestre Philharmonia (Années ‘60)
En plus des symphonies, on y retrouve l’ouverture
tragique et les variations sur un thème de Haydn. Giulini a une vision
romantique, tendre et un peu fleur-bleue de ces symphonies, et ceci peut agacer
certains amateurs de Brahms qui recherchent le muscle Germanique. Il reste que
ces visions sont très valables, et la Première
de ce coffret reste mon enregistrement préféré de cette symphonie.
Karajan/Berliner Philharmoniker (1977-78)
Je ne me ferai pas beaucoup d’amis avec mon impression
de ce cofferet. Karajan er sa Philharmonique de Berlin sont les enfants –chéris
diu mouvement Germanique. Karajhan a endisqué ces symphonies maintes fois, et
(j’oserais croire) qu’il exoste au moins trois intégrales sous sa direction. J’ai
entendu les vieux Btrahms en Stéréo des anné.es ’60 de la part de Karajan, et
ces nterprétations font preuve de beaucoup plus de panache que ceux de ces
années tardives de l’analogique – en revanche, son intégrale numérique est
clairement inférieure. Disponible en ré-édition depuis quelques années, ce
coffret est un acaht justifié, mais reste assez ordinaire comparativement à…
Haitink/London Symphony (2003)
Bernard Haitink est sûrement le chef le plus
négligé de sa génération, et ses symphonies de Beethoven, Bruckner, Mahler et
Brahms sont habituellement parmi les plus raffinées qui soient. Haitink a une
relation particulière avec l’orchestre Londonien, et son coffret Beethoven (déjà
discuté dans nos pages) est une convergence de la qualité sonore, de la
performance « publique » et d’un chef qui possède pleinement ces
partitions. En plus des symphonies, Haitink offre une sérénade, l’ouveryure
tragique et le double concerto. Mon coup de cœur!
Sur ma chaîne YouTube, je vous propose l’intégrale
KerteszéWiener Philharmoniker de 1972-73, qui fut complete par iuen session
posthume (sans chef) par l’orchestre seul
http://www.youtube.com/playlist?list...hr4CJNEodLHzLR
D’autres intégrales que j’ai entendues ou dont j’ai des extraits individuels: Muti et le Philadelphia Orchestra,Toscanini et leNBC Symphony, Sir Adrian Boult et le London Philharmonic et Eugen Jochium etr leBerliner Philharmoniker.
Et les vôtres?
http://www.youtube.com/playlist?list...hr4CJNEodLHzLR
D’autres intégrales que j’ai entendues ou dont j’ai des extraits individuels: Muti et le Philadelphia Orchestra,Toscanini et leNBC Symphony, Sir Adrian Boult et le London Philharmonic et Eugen Jochium etr leBerliner Philharmoniker.
Et les vôtres?
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