Tuesday, January 22, 2013

Mes Intégrales Brahms



A propos des symphonies de Brahms
Mon impression personnelle des symphonies de Brahms se résume à ceci: parfois on parle du «tout qui est plus grand que  la somme de ses composantes». Je pense, que pour Brahms on doit parler d’un amalgame de grandes symphonies individuelles: la gestation difficile de la première, l’aspect serein de la deuxième, l’aspect tragique de la troisième et l’irrésistible quatrième.
Il serait injuste de comparer les symphonies de Brahms en groupe avec, disons, l’ensemble des symphonies de Beethoven, ou même de Bruckner ou de Mahler – qui ont chacun composé le double de l’output symphonique de Brahms et qui font la démonstration à leur manière d’une évolution indéniable.
Ceci n’est pas un constat négatif – mais un constat tout de même. Ainsi donc, là où on peut chercher une vision globale chez un ensemble de symphonies de la part de tel ou tel chef, il reste que ce qui comnpte le plus est l’aspect interprétation des symphonies individuelles.
Dans ma collection

Notre Festival Brahms a fiat appel à quatre prestations sur microsillon sous le bâton de quatre chefs différents: Carlo-Maria Giulini, Leonard BernsteinIstvan Kertesz and Eugen Jochum.

Comme il se doit, j’ai plusieurs versions différentes de ces symphonies, et je détiens particulièrement trois « intégrales » qui font l’objet des prochains paragraphes.

Carlo Marian Giulini et l’orchestre Philharmonia (Années ‘60)

En plus des symphonies, on y retrouve l’ouverture tragique et les variations sur un thème de Haydn. Giulini a une vision romantique, tendre et un peu fleur-bleue de ces symphonies, et ceci peut agacer certains amateurs de Brahms qui recherchent le muscle Germanique. Il reste que ces visions sont très valables, et la Première de ce coffret reste mon enregistrement préféré de cette symphonie.
Karajan/Berliner Philharmoniker (1977-78)

Je ne me ferai pas beaucoup d’amis avec mon impression de ce cofferet. Karajan er sa Philharmonique de Berlin sont les enfants –chéris diu mouvement Germanique. Karajhan a endisqué ces symphonies maintes fois, et (j’oserais croire) qu’il exoste au moins trois intégrales sous sa direction. J’ai entendu les vieux Btrahms en Stéréo des anné.es ’60 de la part de Karajan, et ces nterprétations font preuve de beaucoup plus de panache que ceux de ces années tardives de l’analogique – en revanche, son intégrale numérique est clairement inférieure. Disponible en ré-édition depuis quelques années, ce coffret est un acaht justifié, mais reste assez ordinaire comparativement à…
Haitink/London Symphony (2003)

Bernard Haitink est sûrement le chef le plus négligé de sa génération, et ses symphonies de Beethoven, Bruckner, Mahler et Brahms sont habituellement parmi les plus raffinées qui soient. Haitink a une relation particulière avec l’orchestre Londonien, et son coffret Beethoven (déjà discuté dans nos pages) est une convergence de la qualité sonore, de la performance « publique » et d’un chef qui possède pleinement ces partitions. En plus des symphonies, Haitink offre une sérénade, l’ouveryure tragique et le double concerto. Mon coup de cœur!
Sur ma chaîne YouTube, je vous propose l’intégrale KerteszéWiener Philharmoniker de 1972-73, qui fut complete par iuen session posthume (sans chef) par l’orchestre seul

http://www.youtube.com/playlist?list...hr4CJNEodLHzLR

D’autres intégrales que j’ai entendues ou dont j’ai des extraits individuels: Muti et le Philadelphia Orchestra,Toscanini et leNBC SymphonySir Adrian Boult et le London Philharmonic et Eugen Jochium etr leBerliner Philharmoniker.

Et les vôtres?

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